Nos équipes à Mayotte ne chôment pas.

Pas une semaine ne passe sans que nous faisions fuir des braconniers venus tuer des tortues sur les plages.

Pour rappel, bien que protégée, l’espèce est victime d’un lucratif marché noir dont le trafic se fait en bande organisée pour répondre à une demande locale mais qui s’exporte aussi jusqu’aux Comores ou à Madagascar.