Communiqué de presse / 15 août 2024.
” Il est inacceptable que nous n’ayons pas été autorisés à présenter les preuves au tribunal, y compris les vidéos d’Animal Planet enregistrées dans le cadre des programmes Whale Wars.
Il est également inacceptable qu’il n’y ait pas eu d’interprète au tribunal capable de parler anglais, et que notre client soit traité comme un dangereux criminel, transporté menotté.
Nous faisons appel au ministère de la Justice pour qu’il prenne une décision afin de rejeter la demande d’extradition dès que possible. Les accusations portées contre Paul Watson sont basées sur des faits construits par les autorités japonaises pour arrêter sa campagne.
Paul Watson est accusé d’avoir conspiré avec Peter Bethune pour blesser un membre d’équipage du Shonan Maru. Les japonais prétendent qu’il était sur le pont du navire lorsque la bombe puante a frappé le navire.
Les faits qui ont conduit à la condamnation de Peter Bethune au Japon en 2010 sont montés de toutes pièces. La vidéo montre que le membre d’équipage n’était pas sur le pont lorsque la bombe puante a frappé le navire, contrairement à ce qu’affirment les japonais. Ce que montrent également les images, c’est que les japonais avaient, peu de temps auparavant, utilisé de grandes quantités de gaz poivré, qui ont touché leur propre équipage au visage.
Ces vidéos montrent que le Japon invente des faits pour obtenir l’extradition et la condamnation.”
Notre équipe publiera les images d’Animal Planet afin que le public puisse comprendre de quoi il s’agit réellement dans cette affaire.
Paul Watson a sauvé des milliers de baleines qui étaient illégalement massacrées au cœur d’un sanctuaire baleinier international. Il n’a jamais blessé personne et le Japon a fabriqué des preuves pour le dépeindre comme un criminel. Son procès est le procès de la honte. Ceux qui devraient être jugés sont les baleiniers japonais. J’espère que cette affaire braquera les projecteurs sur leurs actions illégales mais aussi sur l’honteuse impunité dont ils jouissent depuis si longtemps
Contact Presse : Lamya Essemlali
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